Objectif : « Un de mes premiers objectifs a été de voir comment la vidéoprojection pouvait devenir un élément d’éclairage. Comment une image en mouvement pouvait-elle réveiller les corps, les faire disparaître ou les faire apparaître? » – Claudia Chan Tak
Matériel utilisé : projecteur installé au plafond (projection zénithale)
Photos 1 et 2 – Définition de l’espace par la vidéo
- photo 1
- photo 2
La chorégraphe et le formateur Éric Gagnon ont travaillé à définir l’image à intégrer dans l’espace défini.
Photos 3, 4 et 5 – Compréhension de l’espace et de l’angle du faisceau lumineux
- photo 3
- photo 4
- photo 5
C’est en explorant l’effet de la lumière zénithale (photos 3 et 4) que l’équipe s’est rendu compte que la surface de travail définie par la vidéoprojection (cercle et angle du faisceau lumineux) est restreinte. Les danseuses avaient donc comme contrainte de bouger à l’intérieur non seulement du cercle mais aussi du faisceau lumineux. La chorégraphe et les danseuses ont travaillé le mouvement de façon importante afin d’éviter que les corps ne soient coupés par le faisceau lumineux, comme on le voit sur la photo 5, et ce, tout en créant l’effet artistique recherché.
Photo 6 – Travail d’intégration de l’image et des danseuses dans l’espace préalablement défini
Voir l’extrait du spectacle devant public :